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Chloé_Maroc

Portrait #3 – Chloé, exploratrice du monde et de l’âme humaine

Je m’appelle Chloé, j’ai 23 ans et je suis originaire de région parisienne. J’aime à me définir comme une exploratrice du monde et de l’âme humaine. 

J’ai commencé mes études avec une licence en éco-gestion mais j’ai vite compris que ce n’était pas fait pour moi.  J’avais envie de quitter paris et d’évoluer dans un univers plus créatif. Je me suis donc installé à Arles pour suivre des études de création multimédia puis j’ai enchainé avec une licence de communication à Lyon. 

Après plusieurs années passées sur les bancs de la fac j’ai décidé de prendre mon indépendance et je me suis lancée en tant que Freelance en communication. Ce statut m’a permis de travailler avec entreprises qui correspondaient à mes valeurs mais aussi de voyager quand je le souhaitais.

Au fil de ces voyages, je me suis peu à peu reconnectée avec le monde naturel. Et bien que j’appréciais mon métier, je ne supportais plus de passer mes journées devant un ordinateur. Je sentais que j’avais besoin d’autre chose, d’échanges humain et de nature.

Depuis quelques mois je travaille donc dans une Biocoop et j’ai décidé de reprendre mes études afin de donner un nouveau tournant à ma vie professionnelle. 

Comment s’est faite ta prise de conscience écologique ? 

Je n’ai pas eu de déclic à proprement parler. Je pense que ma prise de conscience écologique est plutôt issue d’un long processus.
A la fin de ma licence je n’étais pas très épanouie, je me posais beaucoup de questions sur qui j’étais et où j’allais. C’est dans cette période de remise en question assez profonde que j’ai commencé à m’ouvrir au monde et à m’intéresser encore davantage à ce qui m’entourait. J’ai grandi en ville, et au fil du temps je m’étais petit à petit déconnectée de la nature. Je me suis rendue compte que j’avais passé une grande partie de ma vie en pilote automatique sans me poser de questions sur le monde qui m’entourait. 

Mon cheminement de reconnexion à moi-même, m’a mené à me reconnecter à la nature. Et en me reconnectant à la nature, j’ai retrouvé le lien qui nous lie à elle. Un lien qui, dès qu’on en (re)prend conscience, nous pousse à vouloir la protéger. 

Quel impact cela a-t-il eu sur ta vie quotidienne et professionnelle ?

Suite à cette prise de conscience, je me suis peu à peu mise à adopter un mode de vie plus responsable.

Petit à petit j’ai revu mon rapport à la consommation. Je me suis rendue compte que mon besoin de consommer toujours plus était le reflet d’un profond mal-être intérieur que j’essayais de combler avec des biens matériels. Prendre conscience de cela m’a permis de m’en détacher et de changer mon rapport aux choses. Je ne fais quasiment plus de shopping et lorsque cela m’arrive je m’oriente vers des marques les plus éthiques possibles. 

J’ai aussi revu mon rapport à l’alimentation. Je consomme bio le plus possible et je suis végétarienne depuis plus d’un an et demi. Beaucoup de personnes deviennent végétariennes pour la cause animale, mais pour ma part, c’est l’impact environnemental qui m’a amené à questionner ma consommation de viande en premier lieu. 

En fait ma prise de conscience environnementale m’a fait remettre en question mon mode de vie de manière globale. La route à parcourir pour atteindre un lifestyle le plus responsable possible est longue, mais l’essentiel est de se mettre en route. 

Mon tout nouveau rapport à l’environnement m’a aussi amené à repenser complètement mes objectifs professionnels.

Après avoir mis en pause mes activités de free-lance j’ai pris le temps de me demander ce qui était vraiment important pour moi. La nature, le bien-être et le partage sont des éléments importants pour moi que je souhaite désormais mettre au centre de mon activité. 

J’ai donc décidé d’intégrer un master en sciences de l’éducation option prévention santé, avec comme objectif d’étudier le rôle de la nature dans l’épanouissement physique et psychique des individus.
Je n’ai pas encore d’idée précise sur ce que je ferai après, mais je sais que je souhaite promouvoir un mode vie plus sain et aider les autres à s’épanouir et à (re)développer leur lien avec la nature. 

Dans le même esprit, j’ai décidé de renouer avec mon amour pour la vidéo et de réaliser une série d’interviews. Je vais aller à la rencontre de professionnels de la santé et du bien-être au naturel pour faire rayonner un mode de vie plus holistique. 

Quelle a été ton évolution par rapport au voyage ?

J’ai toujours eu un gout très prononcé pour le voyage et les cultures étrangères, mais pendant longtemps je pensais que voyager rimait avec quantité.

Je voulais en voir le plus possible, je m’imposais une cadence de folie, et le pire dans tout ça c’est qu’à peine arrivée dans un endroit, je pensais à ma prochaine destination. J’étais aussi très -trop- organisée, j’avais besoin de tout sur-planifier et je détestais les contretemps. 

Voyager seule en Asie, et plus particulièrement au Japon et à Taiwan m’a appris à lâcher prise. C’est au cours de ces voyages que je me suis rendu compte que c’est lorsqu’on laisse de la place à l’imprévu que la magie du voyage se produit vraiment. Je sais désormais que l’important ce n’est pas le nombre de pays que l’on fait, mais les rencontres, les échanges et les expériences. 

Ces voyages en Asie m’ont aussi fait prendre conscience de l’impact environnemental du voyage. Hormis la question du transport, je me suis rendu compte qu’il pouvait être compliqué de conserver son mode de vie responsable lorsqu’on est loin de ses repères et de son confort quotidien.

Lors de mon dernier voyage en Asie, j’ai particulièrement mal vécu la surabondance de plastique. Je me rappelle encore mon dilemme quotidien entre ma volonté de découvrir la street food locale et mes convictions zéro déchet. Ce voyage m’a servi de leçon, et lors de mon prochain je serai mieux préparée.

À chaque fois,  on se retrouve confronté à de nouvelles problématiques qui questionnent notre manière de voyager et nous poussent à trouver des solutions que l’on pourra mettre en pratique lors de nos futures aventures. 

Quels conseils donnerais-tu à d’autres voyageurs pour voyager de manière plus responsable ?

Prendre le temps, voilà l’une des clés pour voyager de manière plus responsable. 

Premièrement parce que découvrir un pays, s’imprégner de sa culture, échanger avec ses habitants et surtout s’y rendre… Tout cela demande du temps, un temps qu’il faut s’accorder si l’on souhaite voyager de manière plus responsable.  

Mais aussi parce que voyager de manière responsable demande un peu plus de recherches.  Souvent on va au plus rapide sans prendre le temps de trouver des alternatives ou de se questionner sur l’impact que nos choix peuvent avoir sur l’environnement local. Or, voyager responsable c’est aussi respecter les lieux et les populations que l’on découvre. Lorsque l’on voyage il faut s’attacher à laisser le moins de traces possible.

En tant que voyageur, j’ai l’impression que la majorité des erreurs que l’on commet sont dues à la mésinformation. On n’a trop souvent pas conscience de l’impact de nos actions sur l’environnement local ou bien même que des alternatives existent. Heureusement pour nous, une solution simple existe pour pallier à ce manque d’information : prendre le temps. Prendre le temps de se questionner, de chercher des solutions. Pour cela les blogs, les livres et même les réseaux sociaux sont nos amis. Ils nous permettent de nous rendre compte que voyager de manière responsable est possible et nous montrent la voie. 

Quels sont les voyageurs responsables qui t’inspirent le plus ?

Iznowgood, Le Souffle du Panou… Des aventures qui font rêver et qui sont porteuses de sens. À eux seuls ces aventuriers 2.0 montrent qu’une autre forme de voyage est possible.  

Champ libre

Ode au voyage. 

Je vois le voyage comme l’un des plus beaux cadeaux que l’on peut se faire à soi-même. En partant découvrir le monde on part aussi se découvrir soi-même. Il ne faut pas penser que le voyage est un outil miracle qui nous permettra de guérir tous nos mots, mais c’est une bonne piste de lancement. Il nous permet de nous confronter à nous-même, de sortir de notre zone de confort.
Alors oui on peut faire ça chez soi, mais j’ai l’impression que c’est plus simple quand on est loin de tout ce que l’on connaît. C’est comme si on nous donnait une feuille blanche et qu’on pouvait récrire notre vie loin de toute la pollution et de la pression sociale qui nous entourent dans notre quotidien. On prend conscience que tout un tas de pensées ou de croyances qu’il ne nous venait pas à l’esprit de remettre en questions sont le fruit de constructions sociales liées à notre culture et à notre environnement. Dès lors, on peut commencer à faire un véritable travail de fond. Nous demander si toutes ces choses sont en adéquation avec la personne que l’on est ou que l’on souhaite devenir, et si ce n’est pas le cas s’en délester pour « renaitre ». 

On ne revient jamais tout à fait le même d’un voyage. On grandit. 

Les recommandations de Chloé

Des podcast comme Les Baladeurs ou les documentaires comme Our Planet sur Netflix, sont un type de contenu très important à mes yeux car il nous permettent de nous évader et de nous rendre compte de la beauté du monde. Or en se rendant compte de sa beauté, on aura peut être encore plus envie de le protéger. 

Pour le côté pratique et responsable j’ai récemment découvert le podcast Les coulisses du voyage qui donne de bonnes pistes de réflexions et des informations utiles à tous ceux qui souhaitent voyager de manière plus responsable. 

Je recommande également des livres sur la nature comme Shinrin Yoku, La vie secrète des arbres, Mère, L’Enseignement spirituel de la forêt amazonienne


Tu peux retrouver Chloé sur son compte Instagram @lafilleauxcarnets

Est-ce que tu pourrais également m’envoyer une photo de toi de bonne qualité pour illustrer l’article. Idéalement en contexte voyage.

Chloé, exploratrice du monde et de l’âme humaine ou // Chloé, voyageuse au naturel

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– Qui es-tu ?

Je m’appelle Chloé, j’ai 23 ans et je suis originaire de région parisienne. J’aime à me définir comme une exploratrice du monde et de l’âme humaine. 

J’ai commencé mes études avec une licence en éco-gestion mais j’ai vite compris que ce n’était pas fait pour moi.  J’avais envie de quitter paris et d’évoluer dans un univers plus créatif. Je me suis donc installé à Arles pour suivre des études de création multimédia puis j’ai enchainé avec une licence de communication à Lyon. 

Après plusieurs années passées sur les bancs de la fac j’ai décidé de prendre mon indépendance et je me suis lancée en tant que Freelance en communication. J’ai travaillé pour des entreprises qui correspondait à mes valeurs.

Ce statut m’a permis de travailler avec entreprises qui correspondaient à mes valeurs mais aussi de voyager quand je le souhaitais. Au fils de ces voyages que je me suis peu à peu reconnectée avec le monde naturel, et bien que j’appréciais mon métier je ne supportais plus de passer mes journées devant un ordinateur. Je sentais que j’avais besoin d’autre chose. D’échanges humain et de nature. Depuis quelques mois je travaille donc dans une Biocoop et j’ai décidé de reprendre mes études afin de donner un nouveau tournant à ma vie professionnelle. 

– Le déclic

Je n’ai pas eu de déclic à proprement parler… Je pense que ma prise de conscience écologique est plutôt issue d’un long processus.
A la fin de ma licence je n’étais pas très épanouie, je me posais beaucoup de questions sur qui j’étais et où j’allais. C’est dans cette période de remise en question assez profonde que j’ai commencé à m’ouvrir au monde et à m’intéresser encore davantage à ce qui m’entourait. J’ai grandi en ville, et en grandissant je m’étais petit à petit déconnecté de la nature. Je me suis rendu compte que j’avais passé une grande partie de ma vie en pilote automatique sans me poser de questions sur le monde qui m’entourait. 

Mon cheminement de reconnexion à moi-même, m’a mené à me reconnecter à la nature. Et en me déconnectant à la nature, j’ai retrouvé le lien qui nous lie à elle, un lien qui, dès qu’on en (re)prend conscience nous pousse à vouloir la protéger. 

– Les changements dans ta vie quotidienne et professionnelle

Suite à cette prise de conscience, je me suis peu à peu mise à adopter un mode de vie plus responsable.

Petit à petit j’ai revu mon rapport à la consommation. Je me suis rendu compte que mon besoin de consommer toujours plus était le reflet d’un profond mal-être intérieur que j’essaye de combler avec des biens matériels. Prendre conscience cela m’a permis de m’en détacher et de changer mon rapport aux choses. Je ne fais quasiment plus de shopping et lorsque cela m’arrive je m’oriente vers des marques le plus éthiques possibles. 

J’ai aussi revu mon rapport à l’alimentation, je consomme le plus bio et végétal possible. Je suis aussi végétarienne depuis plus d’un an et demi. La majorité des personnes devienne végétarienne pour la cause animale, mais pour ma c’est l’impact environnemental qui m’a amené à questionner ma consommation de viande en premier lieu. 

En fait ma prise de conscience environnementale m’a fait remettre en question mon mode de vie de manière globale. La route à parcourir pour atteindre un lifestyle le plus responsable possible, mais l’essentiel est de se mettre en route. 

Quel impact cela a-t-il eu sur ta vie professionnelle ? Ta vision de la réussite ? etc.

Mon tout nouveau rapport à l’environnement m’a aussi amené à repenser complétement mes objectifs professionnels. La nature, le bien-être et la transmission sont les 

Après avoir mis en pause mes activités de free-lance j’ai pris le temps de me demander ce qui était vraiment important pour moi. La nature, le bien-être et le partage sont des éléments importants pour moi que je souhaite désormais mettre au centre de mon activité. 

J’ai donc décidé d’intégrer un master en sciences de l’éducation option prévention santé, avec comme l’objectif d’étudier le rôle de la nature dans l’épanouissement physique et psychique des individus.
Je n’ai pas encore d’idée  mais je sais que je souhaite promouvoir un mode vie plus sain et d’aider les autres à s’épanouir et à (re)développer leur lien avec la nature. 

Dans le même esprit, j’ai décidé de renouer avec mon amour pour la vidéo et de réaliser une série d’interviews. Je vais aller à la rencontre de professionnels de la santé et du bien-être au naturel pour faire rayonner un mode de vie plus holistique. 

 

– Ton évolution par rapport au voyage

J’ai toujours eu un gout très prononcé pour le voyage et les cultures étrangères, mais pendant longtemps je pensais que le voyage rimait avec quantité. Je voulais en voir le plus possible, je m’imposais une cadence de folie et le pire dans tout ça c’est qu’à peine arrivée dans un endroit que je pensais à ma prochaine destination. J’étais aussi très -trop- organisée, j’avais besoin de tout sur-planifier et je détestais les contretemps. 

Voyager seule en Asie, et plus particulièrement au Japon et à Taiwan m’a appris à lâcher prise. C’est au cour de ces voyages que je me suis rendu compte que c’est lorsque l’on laisse de la place à l’imprévu que la magie du voyage se produit vraiment. Je sais désormais que l’important ce n’est pas le nombre de pays que l’on fait mais les rencontres, les échanges et les expériences. 

Ces voyages en Asie m’ont aussi fait prendre conscience de l’impact environnemental du voyage. Hormis la question du transport, je me suis rendu compte qu’il pouvait être compliqué de conserver son mode de vie responsable lorsque l’on est loin de ses repères et de son confort quotidien. Lors de mon dernier voyage en Asie, j’ai particulièrement mal vécu la surabondance de plastique. Je me rappelle encore de mon dilemme quotidien entre ma volonté de découvrir la street food locale et mes convictions zéro déchet. Ce voyage m’a servi de leçon, et lors de mon prochain je serais mieux préparée. À chaque fois  on se retrouve confronté à de nouvelles problématiques qui questionnent notre manière de voyager et nous pousse à trouver des solutions que l’on pourra mettre en pratique lors de nos futures aventures. 

– Quels conseils donnerais-tu à d’autres voyageurs pour voyager de manière plus responsable ?

Prendre le temps, voila l’une des clés pour voyager de manière plus responsable. 

Premièrement parce que découvrir un pays, s’imprégner de sa culture, échanger avec ses habitants et surtout s’y rendre… Tout cela demande du temps, un temps qu’il faut s’accorder si l’on souhaite voyager de manière plus responsable.  

Mais aussi parce que voyager de manière responsable demande un peu plus de recherches.  Souvent on va au plus rapide sans prendre le temps de trouver des alternatives ou se questionner sur l’impact que nos choix peuvent avoir sur l’environnement local. Or, voyager responsable c’est aussi respecter les lieux et les populations que l’on découvre. Lorsque l’on voyage il faut s’attacher à laisser le moins de traces possible. En tant que voyageur, j’ai l’impression la majorité des erreurs que l’on commet sont dues à la désinformation. On n’a trop souvent pas conscience  de l’impact de nos actions sur l’environnement local ou bien même que des alternatives existent. Heureusement pour nous, une solution simple existe pour pallier à ce manque d’informations : prendre le temps. Prendre le temps de se questionner, de chercher des solutions. Pour cela la blogs, les livres et même les réseaux sociaux sont nos amis. Ils nous permettent de nous rendre compte que voyager de manière responsable est possible et nous montrent la voie. 

Voyager demande du temps, 

– Quels sont les voyageurs responsables qui t’inspirent le plus et pourquoi ?

iznowgood, le souffle du panou… Des aventures qui font rêver et qui sont porteuses de sens. A eux seuls ces aventuriers 2.0 montrent qu’une autre forme de voyage est possible.  

– Champ libre

Ode au voyage. 

Je vois le voyage comme l’un des plus beaux cadeaux que l’on peut se faire à soi-même. En partant découvrir le monde on part aussi se découvrir soit même. Il ne faut pas penser que le voyage est un outil miracle qui nous permettra de guérir tous nos mots, mais c’est une bonne piste de lancement. Il nous permet de nous confronter à nous-même, de sortir de notre zone de confort.
Alors oui on peut faire ça chez soi mais j’ai l’impression que c’est plus simple quand on est loin de tout ce que l’on connait. C’est comme si on nous donnait une feuille blanche et qu’on pouvait récrire notre vie loin de toute la pollution et de la pression sociale qui nous entoure dans notre quotidien. On prend conscience que tout un tas de pensées ou de croyances qu’il ne nous venaient pas à l’esprit de remettre en questions sont le fruit de constructions sociales liées à notre culture et à notre environnement. Dès lors on peut commencer à faire un véritable travail de fond. Nous demander si toutes ces choses sont en adéquation avec la personne que l’on est ou que l’on souhaite devenir, et si ce n’est pas le cas s’en délester pour « renaitre ». 

On ne revient jamais tout à fait le même d’un voyage. On grandit. 

– As-tu des livres / documentaires / podcasts / personnalités etc. à suivre sur les réseaux sociaux ou autres ressources à recommander aux auditeurs pour les accompagner dans leur réflexion sur la transition écologique et / ou le voyage ?

> Des podcast comme les baladeurs ou les documentaires comme Our Planet (Nextflix) sont un type de contenu est très important à mes yeux car il  nous permettent de nous évader et de nous rendre compte de la beauté du monde. Or en se rendant compte de sa beauté on aura peut être encore plus envie de le protéger. 

> Pour le côté pratique et responsable j’ai récemment découvert le podcast les coulisses du voyage qui donnent de bonnes pistes de réflexions et des informations utiles à tous ceux qui souhaitent  voyager de manière plus responsable. 

> Livres sur la nature : 

  • Shinrin Yoku, la vie secrète des arbres, Mere, L’Enseignement spirituel de la forêt amazonienne

– Où est-ce que les gens peuvent te suivre ?

Instagram  : @lafilleauxcarnets

Catégories 

Voyage en sac à dos, voyage à pied, zéro déchet, naturopathie, nature, voyage intérieur, quête de sens, documentaire, vidéo, photographie, interviews. 

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Guadeloupe, Corse… 

 

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